lire la suite ici: http://pedagotic.uqac.ca/?post/2010/12/09/Les-r%C3%A9seaux-sociaux,-un-nouveau-concept-d-enseignement
Vous trouverez ici des articles et documents trouvés au fil de mes navigations... Bonne découverte!
lundi 20 décembre 2010
Les réseaux sociaux, un nouveau concept d'enseignement ?
lire la suite ici: http://pedagotic.uqac.ca/?post/2010/12/09/Les-r%C3%A9seaux-sociaux,-un-nouveau-concept-d-enseignement
dimanche 19 décembre 2010
Utiliser le Web2.0 après la classe, pourquoi pas. L’ENT ? non merci.
Pendant la session « retour d’expérience » autour du web 2, un auditeur s’étonnait que des enseignants acceptent de communiquer avec leurs élèves en dehors des heures de cours, alors que les enseignants se retranchent derrière leur statut pour ne pas travailler sur les Environnements Numériques de Travail (ENT) en dehors de leurs obligations de services. Il interrogeait donc les orateurs pour savoir s’ils avaient des éléments de réponse, qui clairement ne savaient pas comment répondre.
Il y a pourtant plusieurs éléments qui se renforcent mutuellement, mais dont la synthèse peut avoir un caractère politique difficile à porter pour des membres de l’Éducation Nationale en représentation.
lire la suite ici: http://tipes.wordpress.com/2010/12/16/utiliser-le-web2-0-apres-la-classe-pourquoi-pas-lent-non-merci/
jeudi 2 décembre 2010
Discussion à propos du TBI
lire la suite ici: http://pedagotic.uqac.ca/?post/2010/10/27/Discussion-%C3%A0-propos-du-TBI
dimanche 21 novembre 2010
dimanche 14 novembre 2010
Moi et les écrans : l'enquête icare sur l'utilisation des médias chez les jeunes rendue publique
Selon cette enquête (article à ce sujet, rapport de recherche, présentation des résultats):
- Plus de 99% des adolescents sondés confirment qu'il y a au moins un ordinateur relié à Internet chez eux.
- Dans la majorité des cas, ils ont aussi accès à une télévision, plusieurs consoles de jeux vidéo (3 par foyer en moyenne) et souvent des téléphones portables multifonctions (les adolescents en sont des utilisateurs privilégiés!).
- Parmi tous les médias, les jeunes préfèrent Internet. Il consomment 8h15 par semaine...
- Tous les "écrans confondus", ils consomment plus de 20 heures de médias technologiques par semaine.
On précise aussi que:
Les écrans et l'interactivité qu'ils permettent, sont devenus le support de la vie sociale des jeunes. Que ce soient les programmes télévisuels, les jeux vidéos (97% des jeunes ont au moins une console chez eux), les échanges par messagerie instantanée ou par SMS, les blogs ou les espaces personnels mis en réseau sur Facebook, les relations à l'autre sont alimentées par le contenu et la diversité des écrans.
On observe par ailleurs cette envie permanente de rester en contact et de maintenir la communication avec ses pairs, que ce soit via les plateformes de réseaux sociaux ou le téléphone portable avec une moyenne 55 textos envoyés par jours.
L'étude permet, en partie, de déconstruire un mythe quant au niveau de compétence des jeunes, en précisant que:
La maîtrise des outils informatiques et leur pratique quotidienne est encore faible en terme de richesse, puisque une grande partie de leurs passe-temps via l'écran est consacrée à la consommation de vidéo, de jeux et de musique. L'utilisation du web dans le cadre de recherches scolaires est loin derrière...
On précise aussi que:
Ces pratiques, si elles ne sont pas encadrées par les adultes, peuvent également avoir des conséquences sur le métabolisme des jeunes en empiétant sur leur temps de sommeil ou en réduisant leur activité physique.
Et il y a plus. L'étude parle, par exemple, des usages des garçons et des filles. C'est très riche et très intéressant!
71,1 % des foyers français équipés d'au moins un ordinateur
Cette étude démontre que malgré la crise le marché des ordinateurs reste en pleine croissance, poussé par les portables et l'attractivité des nouveaux équipements de mobilités comme les netbooks et les tablettes. Il en résulte que le nombre de foyers équipés de plusieurs ordinateurs ne cesse de croitre (28,7 % des foyers soit 3 sur 10 ou 7,8 millions pour être plus précis).
http://www.numereeks.com/voir_news.php?article=169
Monsieur le Ministre de la Culture, je vais vous aider à comprendre
Et non, ce n’est pas gratuit !
- Débats parlementaires : environ 180 millions d’euros (nombres de Parlementaires multiplié par le salaire en jours, multiplié par le nombre de jours de débats + commissions parlementaires. Allez je suis sympa, je ne compte même pas les salaires ministériels, ni ceux des attachés parlementaires et ministériels. Avec ça on pourrait facilement doubler le coût de la mascarade)
- Un site de propagande, jaimelesartiste.fr : 80 000 euros pour 3 semaines d’uptime.
- Carte musique Jeune : 50 millions d’euros sur 2 ans
- Budget de la HADOPI : 12 millions par an, on va lui donner une espérance de vie de 2 ans, jusqu’en 2012 et partir sur une enveloppe globale (surement sous estimée) de 22 millions d’euros
- Identification des internautes : quelques patates « indolores » aux dires de Christine Albanel soit 8,5 euros, multipliés par 50 000 adresses IP par jour, multiplié par 365 jour dans l’année : 155 125 000 euros ! Comme je ne crois pas un instant au chiffre annoncé de 50 000 saisines par jour, on va être gentil et tabler sur 5 000 par jour, ce qui nous fait une enveloppe déjà confortable de 15,5 millions d’euros, auquel on ajoutera la remise spéciale faux cul de FAI (ces gens qui font de la pub pour du téléchargement illimité) concédée par Orange, Numéricable et SFR, il faudra peut-être un jour dédommager Free, tablons sur un timide 4 millions d’euros.
- … je m’arrête là parce que je suis en train de perdre mon calme, mais il faudra ajouter à ça encore une tournée de débats parlementaires pour faire sortir ce texte de notre corpus législatif, les frais de dédommagement en justice des « erreurs » de l’HADOPI. La facture totale en 2012 pourrait s’élever assez facilement à un demi milliard d’euros si on veut vraiment appliquer ce texte ! Et à côté de ça on rabote sur les jeunes entreprises innovantes qui sont l’avenir de nos emplois et l’un des moteurs de notre croissance pour économiser 50 millions d’euros !
- http://owni.fr/2010/11/12/monsieur-le-ministre-de-la-culture-je-vais-vous-aider-a-comprendre/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+Owni+%28Owni%29
Portrait robot de l’utilisateur d’iPad
http://owni.fr/2010/11/09/portrait-robot-de-l%E2%80%99utilisateur-d%E2%80%99ipad/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+Owni+%28Owni%29
Le logiciel libre au Québec : une reconnaissance officielle
Le logiciel libre au Québec : une reconnaissance officielle
samedi 13 novembre 2010
vendredi 12 novembre 2010
samedi 6 novembre 2010
1101 astuces pour Ubuntu 10.10
Dans ce billet, je vais partager avec vous quelques astuces pour des opérations courantes sous Ubuntu (Gnome, Compiz et Firefox
plus précisément). Je me suis aperçu que finalement beaucoup ne
connaissaient pas certains de ces petits détails bien pratiques.
1101 est à lire en binaire, ça fait légèrement moins qu’en décimal
http://blog.rom1v.com/2010/11/1101-astuces-pour-ubuntu-10-10/
La totale sur VirusTotal
VirusTotal qui est un site web permettant de scanner en ligne des fichiers à la recherche de virus et autres malwares. La particularité de VirusTotal, c’est qu’il utilise tous les antivirus les plus connus du marché… AVG, Antivir, Avast, Bitdefender, Comodo, DrWeb, F-Secure, Kaspersky, McAfee, Microsoft, NOD32, Symantec et j’en passe.
La suite chez Korben ici: korben
mardi 2 novembre 2010
L’académie de Créteil propose des MédiaFICHES d’accompagnement sur les produits Promethean
France – Promethean, leader de la classe numérique en France, et le CRDP, support du Pôle numérique de l’académie de Créteil, annoncent la signature d’une convention de partenariat portant sur la création de MédiaFICHES sur les différentes solutions de l’ActivClassroom® Promethean : tableaux interactifs ActivBoard®+2, logiciel ActivInspire®, systèmes d’évaluation ActiVote® et ActivExpression®.
samedi 30 octobre 2010
vendredi 29 octobre 2010
jeudi 28 octobre 2010
Comment faire sa mise à niveau système sous ubuntu et quels logiciels installer?
Vous avez toujours le choix entre faire une mise à niveau depuis le gestionnaire de mise à niveau ou de faire une installation complète depuis un cd-rom. Si la mise à niveau se fait généralement sans problème, il faut de temps en temps réinstaller complètement le système pour gagner en rapidité. Je ne suis pas expert mais à mon avis une installation propre permet d'éliminer définitivement les anciens fichiers devenus inutiles. Personnellement je fais une installation complète une fois sur deux. Si plus haut j'ai écrit qu'il fallait ''quelques heures" pour faire une installation propre c'était aussi pour refaire les configurations des comptes, effets personnalisés et autres logiciels à installer.
Etape suivante: sauvegarder ses données
![]() |
Afficher les fichiers cachés |
Sous firefox j'utilise le plugin xmarks qui me permet de récupérer tous mes signets
Je vérifie d'avoir les réglages d'Empathy (messagerie instantanée), hamster-applet (gestion du temps) et de gwibber (micro-blogging). Ces informations sont rangées dans /home/NomdeSession/.local. Normalement si vous avez sauvegardé votre /home avec les dossiers cachés le .local y est. Mais il vaut mieux vérifier deux fois avant de s'en mordre les doigts!
Installation:
J'utilise deux méthodes:
La première consiste à faire la mise à niveau depuis le gestionnaire de mise à jour, là tout se fait tout seul tout en continuant son travail quotidien. L'inconvénient c'est que parfois long car tout est téléchargé depuis des serveurs web et le résultat n'est pas toujours très propre: le système n'est pas aussi rapide qu'en faisant une installation complète manuelle.
La deuxième donc consiste en une installation propre depuis un cd-rom contenant l'image iso du nouveau système qu j'ai téléchargée depuis le site www.ubuntu.com.
Je vérifie en mode live que tout fonctionne avant d'installer le nouveau système. Ensuite il suffit de suivre les indications à l'écran. Personnellement je suis obligé d'avoir une partition windows et donc je choisis le dual boot. Je fais l'installation en mode manuel: la partition racine: / environ 20 Mb puis le swap de 3 Gb et enfin le reste pour le /home.
Pourquoi ne pas choisir la configuration automatique? Car ainsi la prochaine fois je pourrais réinstaller le système sans toucher à mon /home. Dans la version 10.10 il est proposé d'installer quelques plugins propriétaires comme le flash, mp3 etc. dès l'installation. Ceci évitera de le faire par la suite.
Une fois l'installation terminée, j'active quelques dépôts (bibliothèques en ligne de logiciels) en suivant le tutoriel fourni par ubuntu ici: http://doc.ubuntu-fr.org/depots ou tout simplement en configurant l'onglet dépôts dans système --> Administration --> Gestionnaire de paquets Synaptic --> Configuration
Le but de cette manoeuvre est d'avoir un choix plus grand en logiciels mais vous pouvez vous passer de cette manipulation si les logiciels de base vous suffisent.
Quels logiciels ais-je installés pour travailler?
De nombreux logiciels sont déjà présents dans Ubuntu mais certains méritent une description particulière dans le cadre de mon travail de formateur/enseignant:
Commençons par la bureautique:
Of course j'utilise OpenOffice 3.2 (logiciel multiplateforme dans les dépots ubuntu) mais avec une Gallery enrichie par les opencliparts (dans les dépots d'Ubuntu) et le paquet OooHG pour avoir les cartes d'histoire/géographie. Si le paquet de clipart s'installe sans problème par l'interface de gestion des logiciels d'Ubuntu, c'est un peu plus compliqué pour OooHG.
- télécharger le paquet OooHg ici: http://ooo.hg.free.fr/ooohg/ooohg.html
- Suivre ensuite la manipulation d'installation suivante: http://ooo.hg.free.fr/ooohg/install.html (En gros il faut placer les cartes dans le dossier Gallery d'Ooo)
Par ailleurs j'utilise aussi quelques extensions dans openoffice:
- mailmerge pour faire du mailing (paquet multiplateforme dans les dépots ubuntu)
- modern-templates.oxt pour avoir plus de modèles dans Impress (paquet multiplateforme dans les dépots ubuntu)
- pdf Import (paquet multiplateforme dans les dépots ubuntu) qui permet de modifier des pdf dans Openoffice. Attention cela ne marche pas avec tous les pdf mais pour un usage scolaire cela suffit: modifier quelques lignes ou supprimer des pages...
- Presenter Console (paquet multiplateforme dans les dépots ubuntu). A mon avis l'extension la plus intéressante car elle permet, lors d'une présentation avec un vidéo-projecteur, de prévisualiser la diapo suivante ainsi que les notes sans que le public ne le sache. Attention il faut deux écrans pour pouvoir utiliser Presenter Console!
Freemind pour créer des cartes mentales (logiciel multiplateforme dans les dépots ubuntu) http://freemind.sourceforge.net/wiki/index.php/Main_Page
RedNotebook (logiciel dans les dépots ubuntu) est un journal moderne qui inclue un calendrier, un nuage de mots qui se construit avec vos notes. Les notes peuvent inclure des images, liens ... Pour plus d'information aller sur le site du projet ici: http://rednotebook.sourceforge.net/
Hamster-applet (logiciel dans les dépôts ubuntu) permet la gestion du temps de travail en fonction de divers dossiers et surtout permet d'avoir des statistiques par projet sur divers critères temporels.
Des informations sur cette application ici: http://projecthamster.wordpress.com/screenshots/ ou encore un article chez Korben: http://www.korben.info/hamster-un-bon-logiciel-de-suivi-de-temps-sous-linux.html
Tomboy (logiciel dans la configuration de base d'ubuntu) permet de prendre des notes et de les relier entre elles ainsi que de les classer par bloc-notes. Il est possible de sauvegarder les notes en ligne avec Ubuntuone.
Xournal (logiciel dans les dépôts ubuntu) est un logiciel qui permet d'annoter des documents pdf: surligner, écrire, dessiner. Il est aussi possible de supprimer des pages du document original. Le nouveau fichier peut être modifié et enregistré à nouveau au format pdf. Attention il n'est pas possible d'éditer le contenu du pdf pour le modifier! Lien du projet: http://xournal.sourceforge.net/
Graphisme
Digikam (logiciel dans les dépots d'ubuntu) un gestionnaire de photos très complet qui permet de modifier de façon simple vos photos et surtout de faire des travaux par lots: redimensionner, renommer. Pour le moment je n'ai pas trouvé mieux pour gérer mes photos chez Flickr! http://doc.ubuntu-fr.org/digikamhttp
Pour ceux qui ont besoin de pousser le travail sur l'image il faudra se tourner vers...
The gimp (logiciel multiplateforme dans les dépots ubuntu) n'est plus a présenté pour ceux qui veulent avoir un logiciel de retouche d'image puissant. Certes ce logiciel n'est pas facile à prendre en main au départ mais les tutoriels en ligne sont de plus en plus nombreux. Le site officiel est ici: http://www.gimp.org/
Simple Scan (logiciel dans la configuration de base d'ubuntu) permet de gérer les scanners et je dis bien les scanners! Par contre la reconnaissance de caractères n'est pas top pour le moment sous linux en général.
Scribus (logiciel multiplateforme dans les dépots ubuntu) est un logiciel de PAO qui remplace facilement Publisher sans avoir l'inconvénient du format propriétaire. Si l'interface ne donne pas trop envie lors de la première prise en main, il faut tout de même se rendre compte que ce logiciel permet de faire des brochures, cartes et autres journaux scolaires de manière très professionnelle. Le site officiel est ici: http://www.scribus.net/
Si vraiment vous n'avez que rarement à faire des mises en page pourquoi ne pas se tourner vers OpenOffice Draw? Ce dernier se comporte comme un Publisher de base.
Internet
Firefox comme navigateur web (logiciel multiplateforme dans la configuration de base d'ubuntu). Et bien je ne crois pas qu'il soit nécessaire de présenter ce logiciel par contre je vais m'attarder sur les modules complémentaires que j'utilise au quotidien.
- Xmarks qui permet de sauvegarder et synchroniser mes signets. Attention ce module arrêtera de fonctionner à partir de janvier 2011 en raison de son grand succès et le manque d'argent pour maintenir les serveurs... Mais d'ici là la version 4 de firefox aura un système identique intégré de base. http://www.xmarks.com/
- FoxTab pour gérer mes sites favoris dont j'ai besoin au quotidien d'une façon très visuelle. http://www.foxtab.com/
- ColorfulTabs me permet d'avoir des onglets colorés et plus ou moins transparents. Pourquoi faire? Et bien essayez une vingtaine d'onglets ouverts et vous comprendrez qu'il faut un moyen visuel pour distinguer les onglets de celui qui est actif. https://addons.mozilla.org/fr/firefox/addon/1368/
- pearltress pour rapidement ajouter un signet à mon pearltrees . Pour ceux qui ne connaissent pas... pearltrees permet d'avoir une carte mentale de ses signets le tout en flash et en ligne: c'est un réseau social de signet! le mien est ici: http://www.pearltrees.com/ticecddp49/
- Read It Later me permet de marquer des pages et de les lire plus tard même hors ligne. C'est un outil très utile lorsqu'on est pressé ou interrompu dans sa lecture! http://readitlaterlist.com/
- ScribeFire me permet de rédiger depuis Firefox des articles pour mes bloggs sans me connecter aux bloggs. Vous suivez? Pour les explications c'est ici: http://www.scribefire.com/ Cet article est rédigé depuis Scribefire dans la partie inférieure de mon navigateur et je recherche les différents sites des logiciels dans la partie haute!
- DowloadHelper me permet d'enregistrer des vidéos qui sont dans les pages web sur mon disque dur. Plus d'infos ici: http://www.downloadhelper.net/
- Scrapbook est un module qui permet d'enregistrer des pages lisibles ensuite hors ligne. C'est donc un logiciel de capture de page mais avec la partie cachée. Il est aussi possible de nettoyer une page (enlever les pubs et menus par exemple) avant de l'enregistrer. Plus d'explications ici: https://addons.mozilla.org/fr/firefox/addon/427/

- J'ai la possibilité d'avoir de nombreuses signatures indépendantes de mes comptes
- De lire mes flux rss depuis Evolution en installant le paquet evolution-rss
- d'avoir un agenda que je peux synchroniser avec google agenda
- d'importer et d'exporter en un clic toute ma configuration avec les messages pour les réinstaller sur une autre version d'Evolution.
- Un indicateur de messages est intégré dans le tableau de bord en haut à droite de mon bureau, ce qui m'évite d'ouvrir le logiciel depuis le menu "applications"
![]() |
Interface de Gwibber |
Gwibber pour le micro-bloggage (logiciel dans la configuration de base d'ubuntu) me permet de gérer mes comptes comme identi.ca, facebook ou twitter sans aller sur mes comptes en ligne. Plus d'informations ici: http://gwibber.com/
Skype (logiciel multiplateforme dans les dépots ubuntu) pour la visio-conférence et la téléphonie. Il est possible de téléphoner depuis l'ordinateur vers un numéro fixe en aillant un compte pré-payé. Il est à noter que les communications sont cryptées. Pour plus d'information aller sur le site http://www.skype.com/intl/fr/home
Transmission (logiciel multiplateforme:Mac+Linux dans la configuration de base d'ubuntu)est le logiciel par défaut pour les transferts Bitorrent. Il n'y a pas plus simple comme logiciel P2P. Aucun réglage n'est nécessaire pour débuter. http://www.transmissionbt.com/index.php
Mais il n'y a pas Filezilla (logiciel multiplateforme dans les dépots ubuntu) pour transférer des fichiers sous ftp? Et bien Filezilla existe bien dans la logithèque mais personnellement le navigateur de fichier Nautilus permet de faire la même chose! Je reviendrai dans un prochain article sur l'utilisation de Nautilus (logiciel dans la configuration de base d'ubuntu) pour le ftp.
Les outils système:
J'en utilise que 3 supplémentaires mais il ne faut pas croire de nombreux logiciels sont déjà installés par défaut!
Unison (logiciel multiplateforme dans les dépots ubuntu) pour synchroniser des dossiers avec un disque dur externe. C'est un logiciel très simple de sauvegarde. Plus d'information ici: http://www.cis.upenn.edu/~bcpierce/unison/
Compiz Fusion Icon (logiciel dans les dépots ubuntu) me permet de relancer ou modifier mes effets visuels Compiz càd les bureaux en 3D ou les fenêtres flottantes etc Plus d'information ici http://doc.ubuntu-fr.org/compiz_fusion
Et le plus utile à mon avis car ce dernier permet d'éviter un maximum la ligne de commande... C'est ...
Ubuntu Tweak permet de faire des tas de réglages et nettoyages depuis une simple interface très simple à prendre en main. Attention ce logiciel n'est pas dans les dépôts Ubuntu. Il faut aller chercher les explications ici: http://ubuntu-tweak.com/
Son et Vidéo:
Audacity (logiciel multiplateforme dans les dépots ubuntu) pour enregistrer du son et modifier des pistes audios. http://audacity.sourceforge.net/about/?lang=fr
Banshee (logiciel multiplateforme dans les dépots ubuntu) pour gérer la musique sur son ordinateur ou en ligne. J'utilise ce logiciel à la place de rythembox par défaut dans Ubuntu. Je n'ai jamais bien réussi à faire marcher ce dernier... Peut-être trop complexe pour moi? Pour Banshee les informations se trouvent là http://banshee.fm/
Pitivi (logiciel linux dans les dépôts d'Ubuntu) est le logiciel de montage vidéo standard dans Ubuntu. Personnellement je ne l'ai pas encore testé mais sinon il y en a d'autres qui font très bien le travail. http://www.pitivi.org/?
Imagination (logiciel linux dans les dépôts d'Ubuntu) pour créer des fichiers vidéo à partir d'images ou de photos. Même si le développement de ce logiciel est à l'arrêt actuellement, il est tout à fait fonctionnel en l'état. http://imagination.sourceforge.net/
Videoporama (logiciel multiplateforme dans les dépots
ubuntu) est une autre application de création de séquences vidéos constituées
d'images ou de photographies,
fixes ou animées. Pour l'instant je n'ai pas encore de préférence entre Imagination et Videoporama... Le site officiel: http://videoporama.tuxfamily.org/
VLC (logiciel multiplateforme dans les dépots ubuntu) est le lecteur multimedia à avoir. Il remplace sans problème Totem qui est le logiciel "officiel" d'Ubuntu. Il permet de lire de nombreux formats audio et vidéo. Le site officiel http://www.videolan.org/index.html
RecordMyDesktop (logiciel linux dans les dépôts d'Ubuntu) est un logiciel permettant d'effectuer des screencast, c'est-à-dire de capturer une vidéo de ce qui se passe sur votre bureau. Il permet de capturer l'image, mais également le son. Il fournit une vidéo au format Ogg Théora, qui offre une bonne qualité mais qui nécessite une compression importante. http://doc.ubuntu-fr.org/recordmydesktop
Sound Juicer (logiciel linux dans les dépôts d'Ubuntu) pour extraire ou encoder des fichiers audio (OGG, MP3 ou autres) dans votre ordinateur. Plus d'information ici http://doc.ubuntu-fr.org/sound_juicer
OGMRip pour encoder/transcoder des DVDs. Plus d'informations sur http://doc.ubuntu-fr.org/ogmrip
Attention, parfois il faut installer des paquets supplémentaires en fonction du format que vous voulez obtenir ou utiliser.
Emulateurs
Pour faire tourner certains logiciels windows j'ai installé deux paquets:
Wine (logiciel Mac/linux dans les dépôts d'Ubuntu) qui n'est pas un émulateur puisqu'il n'utilise pas Microsoft Windows mais simplement une librairie qui permet de faire croire au logiciel qu'il est sous windows. Wine ne fonctionne pas à tous les coups mais il permet de faire tourner de petits logiciels très rapidement en faisant un clic droit et "ouvrir avec wine". Plus d'informations ici: http://www.winehq.org/
Virtualbox (logiciel linux dans les dépôts d'Ubuntu) est un vrai émulateur d'autres systèmes d'exploitation comme XP ou Mac. Il me permet de tester d'autres systèmes d'exploitations ou d'utiliser des logiciels qui ne tournent que sous Windows par exemple. http://www.virtualbox.org/
Voilà j'ai fait le tour des logiciels que j'utilise au quotidien mais je ne me suis pas attardé sur les applications standard comme ceux dans le menu "Préférences" ou "administration" d'Ubuntu.
Par la suite j'utilise une méthode en ligne de commande pour copier tous mes logiciels vers une autre machine.
mercredi 27 octobre 2010
Interview : dans les coulisses d'OOo4Kids
ébullition. Il y a quelques semaines, EducOO.org finalisait OOo4Kids
(OpenOffice.org pour Kids). Comme son nom l’indique, ce petit frère
d’OpenOffice.org a spécialement été conçu pour le monde de l’éducation
afin que les plus jeunes puissent se familiariser avec les outils de
base (traitement de textes, tableur…).
Jean-Marie Lafon, Éric Bachard et Sylvain Denis ont pris le
temps de nous expliquer pourquoi ils s’étaient lancés dans un tel
projet. Ils ont également commenté l’actualité chaude du moment, celle
du divorce entre l’équipe d’OpenOffice.org et Oracle et la vidéo de
Microsoft qui s'en prend au libre.
la suite ici: http://www.macgeneration.com/news/voir/172481/interview-dans-les-coulisses-d-ooo4kids
samedi 23 octobre 2010
Accroche-toi au pinceau de la contribution, j’enlève l’échelle de la participation
depuis l’avènement du web dit “2.0″ sont souvent indistinctement et
abusivement employés.
lire la suite ici: http://owni.fr/2010/10/20/accroche-toi-au-pinceau-de-la-contribution-jenleve-lechelle-de-la-participation/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+Owni+%28Owni%29
vendredi 22 octobre 2010
Le nouveau rapport Attali constate l'échec du gouvernement à rétablir une saine concurrence entre logiciels libres et logiciels propriétaires.
Paris le 21 octobre 2010, communiqué de presse.
La Commission pour la libération de la croissance française, présidée par Jacques Attali, a remis le 15 octobre 2010 à Nicolas
Sarkozy son nouveau rapport intitulé « Une ambition pour dix ans »1.
ainsi que de nouvelles recommandations. Face à l'inaction
dugouvernement sur les propositions faites il y a déjà deux ans, l'April
regrette que ces propositions de bon sens n'aient pas été suivies,
alors même que certains sujets n'ont même pas été abordés.
L'April s'était félicitée en 2008 du rapport de la Commission, qui préconisait alors de soutenir le Logiciel Libre comme concurrent des technologies propriétaires extra-européennes, via notamment la "décision 58"3 de ce rapport.
rapport 2010 constate l'inaction des pouvoirs publics pour rétablir une
saine concurrence entre logiciels libres et logiciels propriétaires. En
effet, on trouve notamment parmi les « propositions
restéesinappliquées » (page 111) la « promotion de la concurrence entre logiciels propriétaires et logiciels libres ».
De même, le gouvernement n'a strictement rien fait sur le dossier de la
vente liée des ordinateurs et des logiciels préinstallés ; les
consommateurs sont toujours contraints de passer par la case justice
pour éventuellement obtenir des remboursements (voir à ce sujet le bilan
estival en matière de racketiciel).
C'est
donc un constat d'inaction que pose ce rapport : non seulement les
actions n'ont pas été suivies de succès, mais les propositions du
rapport 2008 ont tout bonnement été ignorées par le gouvernement.
Se pose également le problème des marchés publics illégaux (voir l'actualité récente à Marseille),
c'est-à-dire ceux qui exigent un certain type de matériel ou de
logiciel sans préciser la possibilité de proposer une équivalence. Cette
situation, en plus d'être illégale, est nocive pour les entreprises du
Logiciel Libre et prive les collectivités d'opportunités nombreuses :
c'est pourquoi l'April souhaite intervenir en informant les
collectivités locales sur l'obligation faite par le Code des marchés
publics de ne pas mentionner des marques dans les cahiers des charges et
spécifications du marché; nous souhaitons aussi et surtout attirer
l'attention sur les conséquences et les opportunités qui en découlent.
Face à un tel constat d'inaction des pouvoirs publics, l'April ne peut
que regretter d'avoir à agir sur le sujet.
nombreuses propositions comme le rapport « À armes égales » de Bernard
Carayon en 2005 et le « rapport Attali » de 2008 ont été faites pour
améliorer la situation, il est regrettable de constater que le
gouvernement n'a toujours pas mis en œuvre les actions proposées.
Celles-ci mettraient pourtant fin aux distorsions de concurrence qui favorisent injustement le logiciel propriétaire » a déclaré Frédéric Couchet, délégué général de l'April.
À propos de l’April
Pionnière
du logiciel libre en France, l’April est depuis 1996 un acteur majeur
de la démocratisation et de la diffusion du Logiciel Libreet des
standards ouverts auprès du grand public, des professionnels et des
institutions dans l’espace francophone. Elle veille aussi, dans l’ère
numérique, à sensibiliser l’opinion sur les dangers d’une appropriation
exclusive de l’information et du savoir par des intérêts privés.
L’association
est constituée de plus de 5 500 membres utilisateurs et producteurs de
logiciels libres. Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre sur
le site Web à l’adresse suivante : http://www.april.org/, nous contacter par téléphone au +33 1 78 76 92 80 ou par notre formulaire de contact.
Contacts presse :Frédéric Couchet, délégué général, fcouchet@april.org +33 6 60 68 89 31
Jeanne Tadeusz, responsable affaires publiques, jtadeusz@april.org +33 1 78 76 92 82
mardi 19 octobre 2010
The Social Media
Lisez la suite ici: http://www.zdnet.fr/blogs/digital-jukebox/the-social-media-39755516.htm#xtor=RSS-8
Facebook juge la polémique sur les fuites de données privées "exagérée"
a finalement réagi aux informations diffusées dans la presse. Le Wall
Street Journal expliquait en effet hier que certaines applications ont
envoyé des données privées, comme l'identifiant utilisateur, à des
annonceurs. Pour le réseau social, cette affaire est exagérée dans la
mesure où cet identifiant ne permet pas d'accéder à des informations
confidentielles.
de la presse avaient exagéré les implications sur le partage de
l'identifiant des utilisateurs. Connaître un identifiant utilisateur ne
permet à personne d'accéder à des informations privées sans le
consentement explicite d'un membre".
article expliquant que certaines des applications les plus populaires
sur Facebook envoient l'identifiant des utilisateurs
du réseau social à des annonceurs, notamment lorsqu'ils cliquent sur
des publicités. Si cet identifiant ne permet effectivement pas d'accéder
à des données privées, il peut être exploité pour obtenir un profilage
plus précis des internautes.
Facebook a levé les restrictions appliquées à certains éditeurs de jeux.
C'est notamment le cas de la société LOLapps Media Inc, qui a vu ses applications bloquées pendant deux jours. Une mesure préventive permettant au réseau social d'enquêter sur la nature de ces fuites.
coûter cher à Facebook. Avec l'arrivée prochaine de Google Me, une "couche" sociale
selon les propres termes du PDG de Google, le réseau social fondé par
Mark Zuckerberg essaie d'élargir son horizon en s'ouvrant au "social gaming". Rappelons que Facebook a publié en août dernier une offre d'emploi en ce sens.
De plus, une étude publiée
par le NPD Group avait révélé que plus de 10 % des joueurs sur les
réseaux sociaux ont déjà dépensé une petite somme d'argent. L'an
dernier, cela représentait plus de 2,2 milliards de dollars (1,74
milliard d'euros) dépensés sur des applications comme FarmVille. D'ici
trois ans, ce montant doit dépasser les 6 milliards de dollars. Dans ses
conditions, Facebook a tout intérêt à calmer d'éventuelles polémiques
sur la vie privée. Et à se présenter comme une plate-forme sûre.
Article diffusé sous licence Creative Common by-nc-nd 2.0, écrit par Guillaume Champeau pour Numerama.com
lundi 18 octobre 2010
Twitter: Quels impacts pour la gestion de projets?
utilisateurs un moyen de communiquer des informations aux autres qui est
simple et direct. Récemment, le phénomène du micro-blogging a pénétré
l’entreprise avec des outils comme Yammer, qui permet aux collaborateurs de diffuser et partager de l’information à propos de ce sur quoi ils travaillent.
la suite ici: http://owni.fr/2010/10/18/twitter-quels-impacts-pour-la-gestion-de-projets/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+Owni+%28Owni%29
samedi 16 octobre 2010
Twitter: Quels impacts pour la gestion de projets?
utilisateurs un moyen de communiquer des informations aux autres qui est
simple et direct. Récemment, le phénomène du micro-blogging a pénétré
l’entreprise avec des outils comme Yammer, qui permet aux collaborateurs de diffuser et partager de l’information à propos de ce sur quoi ils travaillent.
Nous pouvons ainsi tenter de brièvement décrire le micro-blogging comme:
- Un outil de réseautage et des systèmes qui permettent l’écoute, la
sensibilisation, la communication et la collaboration entre les
personnes, par le biais de courtes impulsions de texte, de liens et de
contenu multimédia. - Une manière étonnamment puissante pour relier les gens les uns aux autres pour le bénéfice des sociétés.
vendredi 15 octobre 2010
Microsoft s'attaque à OpenOffice dans une vidéo
Jamais la pression du logiciel libre n'a été aussi forte sur Microsoft. Jadis hégémonique, le géant de Redmond est désormais contesté dans chacun des domaines où il se trouve. Internet Explorer assiste impuissant à la progression de Firefox, VLC Media Player se présente comme une alternative très crédible à Windows Media Player, et Linux (via certaines distributions, comme Ubuntu) devient plus accessible pour le grand public.
Pour une société privée comme Microsoft, cela pose évidemment des problèmes à long terme. S'il est évident que le géant des logiciels ne disparaîtra pas du jour au lendemain, ses bénéfices sont néanmoins rognés à la marge lorsque des utilisateurs, des entreprises ou des administrations optent pour des solutions libres. Il n'est donc guère surprenant de voir Microsoft s'en prendre de temps à autre aux logiciels libres.
L'an dernier, la firme américaine avait formé des revendeurs aux États-Unis pour que ces derniers puissent justifier l'intérêt de passer à Windows 7, son dernier système d'exploitation. Surtout, Microsoft voulait donner des arguments pour expliquer pourquoi une solution Windows était préférable à une distribution Linux. Un système moins accessible, moins sécurisé et moins fonctionnel que Windows 7.
Plus récemment, Microsoft a porté ses accusations contre Android. La firme américaine avait critiqué le modèle de cet O.S., estimant qu'il n'était pas vraiment libre et gratuit. Les observateurs avaient alors remarqué que ces propos étaient survenus quelques semaines avant le lancement de Windows Mobile 7. Or, la situation de Microsoft dans la téléphonie mobile est particulièrement délicate. En perte de vitesse, Microsoft cherche à se relancer.
Visiblement, la firme de Redmond a décidé de renouveler ses critiques à l'égard du logiciel libre. Repérée par Ars Technica, une vidéo sur YouTube est censée démontrer pourquoi OpenOffice est moins intéressant que la suite bureautique Microsoft Office. La vidéo de 2 minutes 50 liste une série de témoignages d'utilisateurs déçus de la solution libre. Évidemment, la vidéo ne prétend pas à l'objectivité.
Ici, il est question de récolter tous les avis des mécontents. Ars Technica a d'ailleurs relevé avec malice que ces réactions étaient hébergées directement par Microsoft. Comme si la firme de Redmond s'était constituée un stock de réactions négatives pour défendre sa suite bureautique.
Les reproches faits à OpenOffice vont d'une faible interopérabilité à une productivité en baisse, en passant par une efficacité en berne, une hausse des coûts (formation des employés par exemple) et même un impact négatif sur les résultats scolaires.
Que ces assertions soient fondées ou non, une chose est sûre. Microsoft n'aurait certainement pas réalisé une pareille vidéo si la firme n'était pas inquiète. Le fait que Microsoft accorde des moyens pour critiquer une solution libre laisse à penser que celle-ci est en forte progression. D'ailleurs, est-il nécessaire de rappeler l'offre d'emploi publiée en début d'année par Microsoft ? Ce dernier était alors à la recherche d'un responsable de la concurrence afin de suivre l'évolution de l'univers du logiciel libre, en particulier Linux et OpenOffice.org.
mercredi 13 octobre 2010
Internet Explorer sous la barre des 50 %
éternité, Internet Explorer est passé sous la barre des 50 % au niveau
mondial, selon StatCounter. En septembre, la part d'utilisation d'Internet Explorer était de 49,87 %. Il y a un an encore, elle était de 58,37 %.
la suite ici: http://www.macgeneration.com/news/voir/171081/internet-explorer-sous-la-barre-des-50
lundi 11 octobre 2010
La chute d’une plume (pèse plus que ta pudeur)
La chute d’une plume (pèse plus que ta pudeur) est un court-métrage de 11 minutes réalisé en animation en volume.
Les dialogues sont en français. Des sous-titres sont disponibles dans plusieurs langues.
La suite ici: http://lachuteduneplume.free.fr/?-Francais-
samedi 9 octobre 2010
le FramaDVD
Le FramaDVD Ecole est une contribution pour le développement des TUIC (Techniques Usuelles de l'Information et de la Communication) et en particulier des logiciels libres dans les classes.
L'objectif de ce DVD est d'offrir aux élèves et aux enseignants tous les outils pour utiliser les TUIC régulièrement dans leurs apprentissages.À qui s’adresse FramaDVD Ecole?
Ce DVD a été conçu spécialement pour les élèves et les enseignants des écoles maternelles et élémentaires. Il peut tout aussi bien être utilisé en classe qu'à la maison.
La suite est ici: http://framadvd.org/framadvd_ecole.php
vendredi 8 octobre 2010
Umberto Eco critique Microsoft
Umberto Eco
envoyé par franceinter. - L'actualité du moment en vidéo.
La partie intéressante débute vers 3"30!
samedi 2 octobre 2010
Echec des Creative Commons et nécessité de réformer le droit d'auteur ?
Détrônées
par des services qui facilitent la diffusion des oeuvres dans un cadre
propriétaire contrôlé, les licences Creative Commons peinent à
s'imposer. Ce qui appelle plus que jamais une réforme du droit d'auteur.
Dans la première version du glossaire du site de l'Hadopi, les licences Creative Commons étaient maladroitement définies comme une "alternative légale à la propriété intellectuelle",
ce qui a été corrigé dans la version finale (c'est d'ailleurs sans
doute la première fois dans l'administration qu'un glossaire est corrigé
en concertation directe avec les internautes, sur Twitter). Elles
s'inscrivent en fait pleinement dans le droit d'auteur traditionnel,
puisqu'elles partent elles-aussi du principe que tout ce qui n'est pas
explicitement autorisé par l'auteur est interdit, en dehors de quelques
exceptions légales comme la copie privée. Le but des licences CC est
donc d'expliciter les autorisations dès la publication de l'oeuvre, pour
en faciliter l'usage et la reproduction. Mais cette force des licences
Creative Commons fait aussi paradoxalement leur faiblesse. Car elles
n'invitent pas à réformer en profondeur le droit d'auteur.
Lorsqu'il y a bientôt cinq ans nous avions publié 12 propositions pour faire évoluer le droit d'auteur et son application, nous avions terminé sur celle qui nous semble encore aujourd'hui la plus fondamentale :
12. Lever le tabou de l'obligation de dépôt des œuvres.
La loi accorde à l'auteur un droit exclusif sur son œuvre dès sa
création. Ce principe se justifie dans la vision d'un droit d'auteur
dédié principalement aux professionnels ; il a toujours s'agit de
protéger un professionnel (un auteur) contre un autre professionnel (un
autre auteur ou un éditeur) qui aurait indûment copié une œuvre. Mais
aujourd'hui la fonction économique du droit d'auteur s'inverse. Il tend à
y avoir davantage d'auteurs à créer des œuvres (que ce soient des
chansons ou des commentaires sur un blog) qui ne souhaitent pas tirer le
moindre bénéfice économique de leurs créations. Le succès des Creative
Commons en témoigne. Le droit d'auteur doit tenir compte de cette
évolution, et libérer par défaut les droits sur toute exploitation non
commerciale d'une œuvre dont l'auteur n'a pas souhaité réserver les
droits lors sa publication. Comme pour les brevets, l'auteur qui
souhaite préserver son monopole en toutes situations devrait effectuer
une démarche active de dépôt, avec le paiement de droits de gestion (un
système de marqueur sur les fichiers permettrait de l'identifier comme
déposé). Pourquoi un auteur qui a pour ambition de réaliser un profit
par son œuvre n'aurait-il pas à payer un loyer comme un commerçant doit
payer ses murs ? On ne peut pas être un professionnel en ayant les
avantages sans en subir les inconvénients...
Cinq ans plus tard, la situation n'a pas tellement évolué. Sans
parler d'échec, les licences Creative Commons peinent à s'imposer auprès
du grand public, comme le remarque l'excellent Calimaq.
Il note ainsi qu'en un an, Flickr est passé de 4 à 5 milliards de
photographies hébergées, mais que le nombre d'entre elles publiées sous
licence CC est resté très faible. 120 millions l'an dernier, elles sont
désormais 160 millions. Soit 3,2 % des clichés seulement, pour un
service pourtant précurseur sur la libéralisation des droits. "Il y
a bien eu une progression du volume total de photographies
réutilisables, mais la proportion reste quasiment identique, ce qui
révèle hélas que l’adoption des licences Creative Commons ne s’est pas
étendue", regrette-t-il.
"Le droit d’auteur pur et dur a pour lui cet avantage qu’il
s’applique automatiquement à toutes les créations, sans même que les
individus aient besoin d ‘en avoir conscience, alors que les licences
libres nécessitent un acte volontaire d’adoption de la part des
internautes. C’est ce qui en fait la valeur, mais là réside aussi la
difficulté", analyse Calimaq. Il note par ailleurs que dans la
pratique les licences CC sont de plus en plus délaissées au profit de
services propriétaires qui n'autorisent la reproduction des oeuvres que
dans le cadre de leurs fonctions "embed", donc dans un cadre qu'ils
contrôlent. Un phénomène préoccupant qu'il appelle Copydown.
Si l'on ne veut (ou ne peut) pas changer la loi, la solution pourrait être dans l'éducation. Mais à l'initiative de Michel Thiollière, la loi Hadopi prévoit uniquement dans le code de l'éducation que "les
élèves reçoivent une information sur les dangers du téléchargement et
de la mise à disposition illicites d'œuvres ou d'objets protégés par un
droit d'auteur ou un droit voisin pour la création artistique". L'information des élèves sur l'utilisation des licences libres avait été rejetée par le Parlement, sous l'influence de Frank Riester. Les deux anciens rapporteurs UMP siègent depuis au collège de l'Hadopi.
Rappelons que sur Numerama, tous nos articles sont publiés sous
licence Creative Commons by-nc-nd 2.0, et que la fonction "pirater cet
article" qui figure en en-tête vous aider à respecter facilement les
termes de la licence.
(illustration : CC Steren Giannini)
Article diffusé sous licence Creative Common by-nc-nd 2.0, écrit par Guillaume Champeau pour Numerama.com
mardi 7 septembre 2010
Édito : le traitement de l'informatique dans les séries/films
lire la suite ici: http://www.pcinpact.com/actu/news/59144-edito-traitement-informatique-series-films.htm
jeudi 20 mai 2010
lundi 17 mai 2010
YouTube fête son cinquième anniversaire avec des chiffres impressionnants
lire la suite ici: http://www.numerama.com/magazine/15733-youtube-fete-son-cinquieme-anniversaire-avec-des-chiffres-impressionnants.html
mercredi 12 mai 2010
La Cour des comptes dénonce le système scolaire français
Lire la suite ici: La Cour des comptes dénonce le système scolaire français
jeudi 22 avril 2010
Comment virer MSN sous XP
Pour le désinstaller vous avez deux options:
1. Allez sur démarrer ensuite sur exécuter et tapez cette ligne de commande:
RunDll32 advpack.dll,LaunchINFSection %windir%\INF\msmsgs.inf,BLC.Remove
Ensuite appuyez sur ok
2. La deuxième solution consiste a ouvrir le poste de travail, ensuite allez sur Outils/Options des Dossiers. Dans la boite de dialogue "Options des Dossiers" vous allez sur l'onglet "Affichage" et vous selectionnez "Afficher les dossiers et fichiers cachés" terminez en cliquant sur "Ok".
Maintenant vous ouvrez le dossier C:\Windows\inf
sur le fichier Sysoc.inf faites un clic droit et ensuite ouvrir une fenêtre bloc notes s'ouvrira, cherchez la ligne qui commence par: msmsgs= . Cette ligne ressemble a ceci:
msmsgs=msgrocm.dll,OcEntry,msmsgs.inf,hide,7
Vous supprimez alors le mot hide votre ligne ressemblera alors a ceci:
msmsgs=msgrocm.dll,OcEntry,msmsgs.inf,,7
Enregistrez maintenant votre fichier modifié et fermez la boite de dialogue.
Cette modification de ce fichier rendra windows messenger visible dans la section ajouter/modifier programmes dans la section ajouter des composants windows sur la gauche de votre liste, il vous suffit alors de cocher windows messenger et de le supprimer
dimanche 28 mars 2010
Jean-Pol Tassin: l'addiction vue de l'intérieur du système nerveux
Jean-Pol Tassin: l'addiction vue de l'intérieur du cerveau
envoyé par liberation. - Regardez les dernières vidéos d'actu.
Très haut débit : le LTE, alternative de la fibre optique dans les zones rurales
Pour soutenir le haut débit dans les zones rurales, l'une des solutions pourrait être le recours au LTE (Long Term Evolution). En effet, le déploiement de la fibre optique dans les régions peu peuplées risque d'être très lent, contrairement aux grandes agglomérations urbaines.
C'est ici:Très haut débit : le LTE, alternative de la fibre optique dans les zones rurales - Numerama
lundi 8 mars 2010
Jabber ou l'union des messageries instantannées pour combattre MSN
lire la suite ici:
Jabber ou l'union des messageries instantannées pour combattre MSN
mercredi 3 mars 2010
L'IIPA veut-il faire de l'open source une menace aussi importante que le piratage ?
Le logiciel libre sera-t-il bientôt relegué au même rang que le piratage ? C'est ce que nous pourrions croire. L'IIPA a en effet recommandé de lister les pays favorisant un peu trop le logiciel libre dans la liste des pays "à surveiller". Car ces derniers, en choisissant des solutions libres, menacent leur business.
Pour lire la suite:L'IIPA veut-il faire de l'open source une menace aussi importante que le piratage ? - Numerama
mercredi 24 février 2010
"Les jeux vidéo rendent-ils accros ?": un guide pour se rassurer
Certes, les loisirs des jeunes et les goûts dont ils témoignent ont toujours surpris, voire effrayé les adultes. Ce qui leur donne d'ailleurs une saveur de transgression qui contribue à forger l'esprit générationnel. Mais avec les jeux vidéos, le phénomène s'amplifie : nombre de parents s'inquiètent de voir leurs enfants pulvériser des armées entières, et passer des dizaines d'heures consécutives devant leur console ou leur ordinateur.
Voici une publication qui permettra aux adultes de relativiser les dangers du jeu vidéo, et aux jeunes de brandir des arguments plausibles pour continuer à jouer.
En avril 2007, la DRDJS (Direction Régionale et Départementale de la Jeunesse et des Sports) de Poitou-Charentes a collaboré avec les espaces multimédias de Rurart et de l'espace Mendès-France pour l'organisation d'un colloque sur l'addiction aux jeux vidéos. Leur compte-rendu du colloque, rédigé en 2008, est enfin disponible à tous gratuitement sur la Toile.
Ni ange, ni démon
Le document de 98 pages intitulé Les jeux vidéos rendent-ils accros? ne tombe ni dans la diabolisation ni dans l'angélisme face aux jeux vidéos. En fait, il souligne que, comme n'importe quel divertissement, la pratique du jeu vidéo devient problématique si elle est utilisée pour fuir une réalité pénible. Et dans ce cas, c'est la réalité qu'il convient d'interroger, plus que le jeu.
Mais le rapport souligne également les aspects positifs de la pratique du jeu vidéo. Il est composé de sept chapitres, dans lesquels des spécialistes (les participants au colloque) répondent aux principales questions que se posent les parents.
- La typologie du jeu vidéo: qu'est-ce qu'un jeu vidéo, quelles sont les principales catégories de jeux, qui joue...
- Le jeu vidéo et ses vertus éducatives: les aspects culturels et éducatifs des jeux. L'exemple est donné du jeu l'aspect ludo-culturel du jeu Assassin's Creed, fort bien documenté sur la période de la renaissance italienne.
- Le corps dans le jeu vidéo: les effets du jeu sur le corps, l'interactivité (détection de mouvements) et ses effets...
- Les mécanismes de l'addiction: qu'est-ce que l'addiction aux jeux, comment la détecter et ne pas la confondre avec l'enthousiasme...
- Le jeu vidéo est-il une drogue ?: la proportion de joueurs accros, les signes de l'addiction...
- Le jeu vidéo : outil thérapeutique ?: compte-rendu d'un atelier réalisé en hôpital avec des enfants psychotiques ou présentant des problématiques psychologiques sérieuses, améliorations comportementales obtenues par le bias des jeux.
- Les jeux de demain: les principales tendances pour les jeux à venir : ubiquité, simulaiton musicale, capture de mouvement, soit la progression des fonctions encourageant l'interactivité.
Le document comprend également un glossaire de termes en lien avec le domaine du jeu vidéo et, également, une brève description des jeux qui ont été nommés dans les entrevues.
Une lecture essentielle qui répond à bien des questions sur un des loisirs les plus importants chez les jeunes générations.
"Les jeux vidéo rendent-ils accros ?", version complète en ligne
lundi 22 février 2010
Les douze priorités de la cyber-éducation LE MONDE
Les douze priorités de la cyber-éducation - LeMonde.fr
Des chiffres intéressants les TICE en France:
Classement. Au sein de l'Union européenne, la France se classe au 8e rang, sur 27, en taux d'équipement numérique dans les établissements scolaires. Elle n'est qu'au 24e rang pour les usages pédagogiques.
Equipement. 6 % des écoles primaires, des collèges et lycées hexagonaux sont équipés de tableaux blancs interactifs, contre 78 % au Royaume-Uni.
Haut débit. 75 % des établissements secondaires en France sont connectés au haut débit, contre 90 % en Finlande, 94 % au Royaume-Uni et 98 % au Danemark.
Salles spécifiques. Les collèges et les lycées disposent, à 97 %, d'une salle informatique pour un taux d'utilisation de… 10 %.
Hors l'école. La France compte 61 % d'internautes. En 2009, 74 % des Français disposaient d'un ordinateur à domicile. 67% d'entre eux étaient équipés d'une connexion Internet.
Connaissance. 68 % des internautes français déclarent se connecter tous les mois dans le but d'apprendre, ce qui place la France au 2e rang des pays de l'Union européenne, derrière le Danemark (71 %).
jeudi 11 février 2010
Les inspecteurs de l’Education Nationale Un grand corps malade
Pierre Frackowiak
Dans un ouvrage remarquable qui reste une référencei, « La République des enseignants », Emmanuel Davidenkoff et Brigitte Perruca écrivaient en 2003, sous le titre « Figures menaçantes » :
Ils devaient être les fers de lance de la république des enseignants. Ses chevaux-légers. Son avant-garde éclairée. Ses managers enthousiastes. Une force de proposition et de conviction. Des capitaines autant que des assistantes sociales. Le turbo de la machine. Ils sont vécus, au mieux, comme des enquiquineurs, au pire comme de pleutres suppôts d’une bureaucratie post stalinienne. De tous les interlocuteurs des enseignants, les inspecteurs sont sans doute ceux qui font l’unanimité la plus évidente. Contre eux. Pas une voix pour évoquer la difficulté de leur fonction, qui les place pourtant dans une situation intenable, tout autant que celle des enseignants qu’ils inspectent : agir sans leviers efficaces. Leur bâton n’effraie guère faute de carotte à leur opposer.
Pire, ils semblent concentrer toutes les critiques que les enseignants adressent à leur employeur : gestion impersonnelle des ressources humaines, promotion à l’ancienneté, manque de formation par rapport à certaines situations, etc. L’inspecteur en tant qu’animateur pédagogique (l’autre versant de sa fonction) se trouve doublement dans la situation du messager porteur de mauvaises nouvelles que le roi fera décapiter pour cette raison….
Ce constat terrible aurait mérité quelques explications et nuances. Le fait est que peu de personnes ont réagi à l’époque et que les syndicats d’inspecteurs ont fait le choix du silence. Qu’en est-il près de sept ans plus tard ?
La situation s’est gravement détériorée. L’image du corps, son impact, sa crédibilité sont devenus si faibles que bien des spécialistes s’interrogent sur son avenir et se demandent même si les mesures prises depuis quelques années, mettant les inspecteurs sciemment dans les pires difficultés de leur histoire, ne sont pas inscrites dans la perspective d’une mort annoncée, parfaitement cohérente avec le contexte de réduction de la dépense publique et de libéralisation du système. Ils sont malheureusement les seuls à ne pas s’en rendre compte et à « faire semblant » en avalant, parfois goulument, toutes les couleuvres. La suppression de leur formation initiale, les conditions de leur recrutement qui n’a aujourd’hui plus rien à voir avec toute idée de concours républicain, l’introduction du mérite dans leur rémunération, le mépris avec lequel ils sont considérés dans les séminaires inter académiques où ils sont ouvertement traités comme des valets ou des exécutants interdits de pensée, faux experts jamais consultés, producteurs de milliers de rapports ignorés de l’institution, rendent leur position infiniment moins confortable encore qu’en 2003.
Comme dans les couples en perdition, ils sont les derniers à savoir. Réfugiés dans leur territoire, ils ignorent totalement ce que pensent réellement les enseignants de leur action et de leur conception du métier. Une tradition infantilisante perdure malgré le temps, le changement des générations et l’élévation du niveau de recrutement des enseignants. On ne dit pas à un inspecteur que l’on n’est pas d’accord, qu’il a tort, qu’il dit n’importe quoi, que l’on s’ennuie dans ses conférences, qu’il affirme le contraire de ce qu’il disait quelques années auparavant, que ses attitudes relèvent de l’autoritarisme et du manque de respect… Cela ne se fait toujours pas. Même les syndicats d’enseignants, régulièrement interpellés par leur base sont très réservés et recherchent systématiquement des arrangements discrets en cas de conflit, considérant qu’il vaut mieux ce système hiérarchique qu’un transfert du pouvoir à des élus ou à aux parents.
Une image fortement dégradée
Les comportements considérés comme excessifs et choquants seraient, selon les syndicats d’inspecteurs, marginaux, non représentatifs, anecdotiques, quasi négligeables. Ils auraient toujours existé… Pourtant, il n’est pas une rencontre avec des enseignants, partout en France, où l’on ne décrive des comportements qui semblent banals mais qui sont considérés, par devers leurs auteurs, comme choquants, déshumanisés et donc profondément contre productifs :
L’annonce de l’inspection. La loi impose que les enseignants soient prévenus, ce qui n’était pas le cas naguère. Or, la pratique la plus répandue, dont on me dit qu’elle était recommandée à l’ESEN (école supérieure de l’Education Nationale) est d’annoncer aux victimes qu’elles seront inspectées entre le 1er et le 8, voire entre le 1er et le 15. On justifierait ce détournement de la loi par la nécessité de surprendre pour observer les réalités. Or, outre le fait que tout enseignant peut toujours garder en réserve une belle séquence spécialement préparée pour l’inspection, la méthode est particulièrement scandaleuse. Elle assimile le métier d’inspecteur à un travail de policier contrôleur de flagrants délits. Elle est contraire à toute éthique dans la mesure où les inspecteurs supporteraient mal qu’un inspecteur général procède la même manière avec eux. Un minimum de confiance semble pourtant être un préalable à toute coopération. Afficher délibérément que la confiance n’existe pas me semble être indigne, incompatible avec la notion même d’éducation.
Le délai des renvois des rapports. Surprise et « épluchée » dans les moindres détails, effrayée de voir une petite bête dégagée d’un dossier, la victime attend parfois des semaines, voire des mois, son rapport d’inspection sans que personne n’ose protester. L’institution prouve ainsi, s’il en est besoin, que le rapport n’a aucune importance, hors la note. Ceci explique aussi que depuis toujours, les milliers de rapports et de notices d’inspection sont « archivés » sans être exploités pour des regards macroscopiques sur le fonctionnement du système. Le voudrait-on d’ailleurs, il n’est pas sûr que la matière serait exploitable. Ce n’est certes pas glorieux pour les inspecteurs, mais cela a toujours été comme ça, il n’y a donc pas de raison de changer. Beaucoup ne se posent même plus la question de l’utilité de leurs rapports. Le formalisme domine.
Les exigences de paperasse inutile. 7 à 10 pages de notice préparatoire à l’inspection avec des questions auxquelles seul l’auteur du questionnaire est capable de répondre (et encore !) est une exigence habituelle parfois ponctuée d’une précision savoureuse : il n’est pas obligatoire de remplir le formulaire. Mais chaque destinataire comprend parfaitement qu’il vaut quand même mieux se résigner poliment à le faire. Certains ajoutent une exigence de produire un rapport sur l’inspection après l’inspection, sur ce que les personnels ont retenu. Le syndrome de la feuille blanche est alors terrible. Certains n’ont rien retenu hors quelques détails anecdotiques. D’autres sont en total désaccord avec les conceptions de l’inspecteur. Mais il faut absolument écrire quelque chose et surtout ne pas dire ce que l’on pense. Il n’est pas encore exigé de conclure par un « c’était bien ! » mais un commentaire positif serait à l’évidence bienvenu..
Les certitudes annoncées en entretien. Peu de dialogue vrai. Peu de pensée divergente. L’inspecteur sait tout par cœur. Il décrète que les pédagogues qu’il a lui-même encensés sont aujourd’hui dépassés. Il affirme que les neurosciences ont fait la preuve de la justesse de ses préconisations qui se résument généralement à faire comme en 1900. Ainsi, au nom des saintes neurosciences, on reprend des positions du début du 20ème en les affublant d’oripeaux faussement scientifiquesii pour les imposer autoritairement, balayant d’un revers de mains trente ans de recherche pédagogique avec un jugement péremptoire indiscutable : « Monsieur, c’est dépassé ! ». Les fondements des préconisations sont encore plus dépassés, mais l’absence de culture et de formation pédagogiques transforment des mensonges en vérités. Curieuse logique qui veut qu’en 2010, 1989 soit dépassé par 1900. L’école serait ainsi le seul domaine de la société où, pour résoudre un problème en 2010, on irait rechercher les solutions qui avaient fait la preuve de leur inefficacité dans les années 1960 et avaient imposé tous les efforts de rénovation pédagogique engagés après 1968… .
L’incapacité de prouver son expertise. Dominique Senore dans son excellent livre « Pour une éthique de l’inspection »iii indiquait comme règle fondamentale : « Ne demande pas à l’enseignant de faire ce que tu ne saurais pas faire toi-même » et Philippe Meirieu rappelle souvent que la meilleure manière de prouver son expertise est de prendre la classe. Mais vous n’y pensez pas, ma chère… Alors, quand les publics concernés savent que l’inspecteur était réputé pour son incapacité à faire l’écoleiv, on peut imaginer le crédit réel de l’intéressé condamné à faire de l’autoritarisme pour asseoir un pouvoir factice. Cause toujours !
Des dérives mortifères
Les dérives se sont considérablement accrues depuis 2005 et encore bien davantage depuis 2008. J’ai souligné à de nombreuses reprisesv la vanité du mirage du pilotage par les résultats, le danger du développement de l’autoritarisme, la régression observée dans la conception de l’acte d’inspection dans lequel la pédagogie disparaît. J’ai alerté avec d’autresvi enseignants et inspecteurs sur l’impasse dans laquelle on avance faute d’avoir un projet, une doctrine, une pensée, faute d’exiger la participation aux réflexions et à la préparation de nouvelles politiques qui ne soient pas la reprise de celles qui avaient fait la preuve de leur inefficacité au cours des années 1960… En vain.
Le pilotage par les résultats sans moyens de régulation, sans formation, sans réflexion fondamentale sur la transposition de modèles économiques au monde de l’éducation, sans culture, conduit le système à la catastrophe. Mais le snobisme fait rage. Statistiques, courbes, camemberts, feuilles de route, évaluationnite aigue et développement effarant du « teaching for testing », cycle infernal évaluation pointilliste/remédiation illusoire, culpabilisation des enseignants et des élèves, absence de prise en compte sérieuse de la dimension sociale des problèmes. Les yeux rivés sur l’ordinateur, on traque désormais les marges possibles de progrès à moyens réduits. Le règne de la paperasse, de l’administratisation, de la pensée unique, de la répression contre les désobéisseurs et contre l’intelligence collective, est arrivé
L’aveu, même pas extorqué, que tout ce qui a été dit, fait, recommandé, avant 2008 était nul et le consensus à peine discret pour approuver toutes les nouvelles mesures régressives imposées comme si, enfin, un pouvoir génial avait découvert les recettes miracles que personne d’autre n’avait trouvé avant lui, même pas les inspecteurs experts, a achevé la destruction de l’image des inspecteurs. Les nouveaux vieux programmes de 2008, la mauvaise semaine des 4 jours, la supercherie de l’aide individualisée… Aucune objection. Aucune pensée divergente. Aucun débat. Au nom d’une loyauté dont l’exigence n’est apparue, curieusement, dans notre système que depuis 2005vii, on cautionne toutes les entreprises de destruction de l’école sous le label du néo libéralisme autoritaire en vogue
Les enseignants contestent-ils l’aide personnalisée, détournent-ils le dispositif ? Ils font de l’idéologie. Beurk. Le pouvoir lui n’en fait évidemment pas. Le malaise grandit dans les écoles, les enseignants perdent tout enthousiasme et se découragent et souffrent ? Basta. Qu’ils obéissent et fassent comme on leur dit de faire ! Et dans mon territoire, tout va bien. L’académie de médecine condamne sévèrement la semaine de 4 jours et la lourdeur accrue de la journée scolaire, Elle fait de la politique ! Ah, pourtant, généralement, l’académie de médecine ne se distingue pas particulièrement par ses aspirations révolutionnaires. Bon, alors, n’en parlons pas, enterrons le rapport. Les tonnes de paperasse rendues, les heures de réunions inutiles sont critiquées ? Peu importe. Les tableaux sont faits et renvoyés à l’échelon supérieur. Les statistiques sont faites…Les apparences sont sauves…
Hallali ou sortie par le haut ?
Le corps, décrédibilisé, semble condamné par de nombreux observateurs et experts. La survie peut encore durer quelques années selon les circonstances, avec la poursuite de la baisse du niveau et de la diversité du recrutement pour en justifier la fin, avec une pseudo formation/formatageviii …
Un évènement attendu risque pourtant de bousculer les conforts illusoires. La réorganisation des écoles, avec des directeurs responsables, bousculera inévitablement les fonctionnements. Certes, c’est une vieille affaire. Des projets antérieurs avaient été abandonnés, projet de droite, les maîtres directeurs de M. Monory, projet de gauche, le rapport du recteur Claude Pair. On sait par ailleurs que l’une des difficultés majeures de la mise en œuvre de la grande loi d’orientation de 1989 a été que le rôle du directeur d’école, depuis lors chargé de l’animation des concertations, du projet d’établissement, de l’organisation des cycles, etc. n’avait pas fait l’objet des mesures qui auraient été nécessaires. On sait que les idées d’établissement public du premier degré sont toujours actives et qu’à droite comme à gauche, on considère généralement que cette question est incontournable et peut-être vitale. Il est évident que si un tel projet se met en place, les missions des inspecteurs seront mécaniquement remises en cause. Bizarrement cela pourrait être salutaire. Car cela imposerait une véritable réflexion sur l’évolution des missions de ce corps. Le directeur prendrait naturellement en charge des tâches administratives, d’animation, de gestion, de relation avec les collectivités qui incombaient aux IEN. Même le pouvoir terrible d’accorder des autorisations d’absence d’une demi-heure ou de quelques jours serait enlevé aux IEN.
Le métier pourrait alors évoluer vers des missions d’accompagnement pédagogique … mais dans un contexte de déni de la pédagogie, cela n’aurait guère de sens.
Il est plus probable qu’une partie des IEN serait reversée vers les nouveaux postes de direction, certains en sont d’ailleurs assez proches dans leur conception du métier, et qu’une autre partie serait affectée à des missions d’évaluation du système en liaison avec les autres catégories d’inspecteurs, avec un complément de formation aux statistiques. L’inspection individuelle classique donnant de plus en plus des signes d’obsolescence, faute de réflexion collective du corps, serait probablement abandonnée.
Dans les deux cas, l’avenir n’est guère enthousiasmant, seuls les conseillers pédagogiques pourraient, comme c’est déjà massivement le cas depuis plusieurs années, être attirés par un petit galon supplémentaire.
L’avenir sera de toute façon différent. Peut-être alors les inspecteurs se décideront-ils à débattre, à réfléchir à leurs missions dans un cadre conservateur contraint… Peut-être se mettront-ils à rêver d’une nouvelle conception du métier dans le cadre d’un projet éducatif moderne et démocratique inscrit dans un nouveau projet de société…
Peut-être prendront-ils conscience de la nécessité d’une éthique de l’inspection, de l’importance de la pédagogie aujourd’hui abandonnée et de leur possibilité de garantir le bonheur d’enseigner et le bonheur d’apprendre, en 2010, en 2030… pas en 1900ix !
Pierre Frackowiak
Co-auteur avec Philippe Meirieu de "L'éducation peut-elle être encore au cœur d'un projet de société?". Editions de l'Aube. Mai 2008. Réédition en format de poche, octobre 2009
Auteur de "Pour une école du futur. Du neuf et du courage." Préface de Philippe Meirieu. Editions La chronique sociale. Lyon. Septembre 200
i Editions Jacob-Duvernet. 184 pages. Avril 2003. Ouvrage publié avec le soutien de la MGEN et de la CASDEN. 14 euros.
ii Un ministre s’est rendu célèbre en pratiquant cet exercice pour imposer le retour au b-a ba. L’histoire politique l’a déjà oublié mais ses recettes sont reprises pour justifier l’injustifiable rejet de l’intelligence au profit de la mécanique. Forts de cette caution morale, certains prônent le retour au bon vieux nouveau manuel pour apprendre à lire comme s’il s’agissait d’un progrès, d’une découverte, d’une révolution !!! Incroyable mais vrai.
iii ESF Editeur. 220 pages. 1er trimestre 2000.
iv Ça arrive ! Tout le monde sait que tous les inspecteurs n’étaient pas de brillants et performants enseignants et le fait de devenir inspecteur ne leur confère pas un diplôme d’ancien excellent enseignant Cela pourrait pourtant passer, avec un peu de modestie et d’humanité. Serait-ce inconcevable de dire ou au moins de penser : « Je n’étais pas un très bon enseignant, mais j’ai fait des études et je voudrais réfléchir avec vous » ? Une posture plus honnête pourrait conduire à plus de respect que l’autoritarisme et la prétention
v Voir sur le café pédagogique un dossier et de nombreuses tribunes sur l’évaluation des enseignants. Voir notamment un texte qui a été repris sur de très nombreux sites pédagogiques dont celui de Philippe Meirieu : « je suis content, je pilote »
vi Voir les ouvrages de Jean-Pol Rocquet, Georges Gauzente, Rémi Bobichon. Voir aussi les écrits d’un grand ancien, Jean Arnould, que le SIEN a peut-être conservés
vii Inspecteur durant 30 ans, je n’avais jamais entendu parler d’obéissance et de loyauté avant 2005. Les nombreux collègues qui avaient, pour le moins, traîné un peu les pieds pour l’application de la loi de 1989 n’ont jamais été inquiétés et je n’ai pas entendu parler de sanction contre les enseignants désobéisseurs (comme Le Bris… distingué dans l’ordre du Mérite) et encore moins d’inspecteurs appelant au secours leur IA pour suspendre ou punir un enseignant usant de la liberté pédagogique inscrite dans la loi.
viii Les nouveaux IEN sont placés directement sur le terrain, vaguement accompagnés par un IEN tuteur choisi selon des critères évidents de loyauté/obéissance. Nul doute que je n’aurais eu aucune chance d’être choisi si j’étais encore en activité… malgré mes excellentes relations avec les IA. L’échec de mon formatage aurait été rédhibitoire
ix 1900, colorisée à coups d’informatique, de références approximatives aux neurosciences et de power point, restera toujours 1900. Ce n’est pas en améliorant la bougie que l’on a inventé l’ampoule électrique.